Désormais, c'est acquit depuis le 8 juin et jusqu'à la fin de l'année 2020 en tout cas, le taux de TVA applicable à l'hôtellerie et la restauration va bien diminuer, passant de 12% à 6% pour les repas, de 21% à 6% pour les boissons, ce qui annonce quelques bons moments passés à la reprogrammation des caisses électroniques pour nos amis professionnels de la restauration. Mais ce n'est pas tout !
La pandémie de coronavirus à laquelle le monde économique est confronté est une période douloureuse mais le Gouvernement a pu prendre une série de mesures de soutien pour les indépendants, sociétés et les professions libérales, parmi lesquelles, une charte avec le secteur financier ayant pour but de faciliter le report de paiement des crédits pour un maximum de six mois. L’intention est louable mais il nous revient du terrain que c’est beaucoup plus compliqué en pratique.
La crise du Covid-19 a mis en lumière la difficulté pour les entreprises du pays à faire face à leurs charges fixes, souvent élevées, et parmi elles, l’inévitable loyer commercial et cela alors que certain(e)s sont empêché(e)s d’exploiter leur commerce en raison des mesures Gouvernementales. Pensons notamment aux bars, restaurants,…
En conséquence, empêché qu’il est de “jouïr” librement du bien loué, le locataire d’un immeuble à usage commercial peut-il plaider sa cause en invoquant cette circonstance pour éviter de payer temporairement son loyer ou le reporter ? La question mérite d’être posée !
Ce prêt baptisé "ricochet" aura la particularité d'être d’une durée maximale de 5 ans et est couplé à une franchise en capital de 6 mois maximum mais attention, il ne pourra pas en aucun être cumulé avec les différentes indemnisations compensatoires pour le Covid-19. Entre l'indemnité unique et le crédit, il faudra donc choisir !
Vraisemblablement, et à la lumière du nombre d’appels ou d’e-mails à traiter ce matin, la plateforme relative à la perception de la première vague d’indemnités Covid-19 a décidé d’envoyer, durant la nuit passée, l’ensemble de ses demandes d’informations complémentaires à tous les requérants… en même temps, c’est sympathique ! Nous sommes donc inondés de demandes
Depuis peu, et dans le cadre des mesures de soutien aux entreprises impactées par la crise du Covid-19, il est apparu la possibilité offerte aux entreprises basée en Belgique de manière permanente de reporter les échéances en capital de leurs crédits jusqu’à 6 mois (31 octobre 2020 au plus tard), pour autant que les conditions soient remplies. Mais comment cela se passe-t-il en pratique ?